Chrysler ecoVoyager, l'ecoDesign : 3
Chrysler a beau changer de logo en pentagram, la marque va mal. Mal en ventes, en image et...en design. Ce prototype ecoVoyager sensé interpréter un crossover orienté familliale-monospace-tous chemins s'enferme dans le style trop déjà-vu malgré quelques détails. Un ecoVoyager à l'ecoMoteur mais à l'ecoDesign...
Le Nassau de l'année dernière avait laissé de glace la plupart des visiteurs de Detroit ainsi que la presse, l'Imperial de 2006 voulait défier Rolls-Royce alors que sa gamme souffrait, bref, Chrysler ne sait pas par quoi repartir. Cebâteau sur roues ecoVoyager à propulsion eléctrique de 268ch joue sur un bon empattement, un porte-à-faux avant minuscule et celui de l'arrière imposant, le tout donnant des proportions très étranges semblant tirer le véhicule vers l'arrière.
La face avant joue comme d'habitude sur une calandre massive à grille très épaisse et très années 50 mais ses contours sont très timides au point de rendre l'auto fade et les phares trop proches surchargent le tout comparé au reste très sobre et espacé. Un profil espacé et sobre en effet, les poignées disparaissent, le pli s'échouant sur un deuxième constituant les "épaules" et pour finir une ligne qui masque la hauteur (1.60m) et la longueur (4.86m).
Passons au gros derrière de la voiture s'allongeant au possible s'ornant seulement des feux et de l'emplacement de la plaque (un peu trop présent pour un prototype). Peu de relief, pas d'échappement (normal, c'est une électrique), quelques plis ici ou là. Le cockpit est à l'image de l'extérieur, c'est.....dénudé. Le volant sort d'une planche de bord qui n'est composée que d'une planche...derrière celle-ci un écran panoramique très étroit offre les infos au conducteur sauf qu'il paraît loin pour être lisible.
Les + : Intérieur pur
Les - : Peu convaincant, peu intéressant, faciès, proportions
Note : 3
Note visiteurs :
Le Nassau de l'année dernière avait laissé de glace la plupart des visiteurs de Detroit ainsi que la presse, l'Imperial de 2006 voulait défier Rolls-Royce alors que sa gamme souffrait, bref, Chrysler ne sait pas par quoi repartir. Ce
La face avant joue comme d'habitude sur une calandre massive à grille très épaisse et très années 50 mais ses contours sont très timides au point de rendre l'auto fade et les phares trop proches surchargent le tout comparé au reste très sobre et espacé. Un profil espacé et sobre en effet, les poignées disparaissent, le pli s'échouant sur un deuxième constituant les "épaules" et pour finir une ligne qui masque la hauteur (1.60m) et la longueur (4.86m).
Passons au gros derrière de la voiture s'allongeant au possible s'ornant seulement des feux et de l'emplacement de la plaque (un peu trop présent pour un prototype). Peu de relief, pas d'échappement (normal, c'est une électrique), quelques plis ici ou là. Le cockpit est à l'image de l'extérieur, c'est.....dénudé. Le volant sort d'une planche de bord qui n'est composée que d'une planche...derrière celle-ci un écran panoramique très étroit offre les infos au conducteur sauf qu'il paraît loin pour être lisible.
Les + : Intérieur pur
Les - : Peu convaincant, peu intéressant, faciès, proportions
Note : 3
Note visiteurs :